Elle a perdu sa vie avec son cousin

Un événement très horrible : 1 jeune fille et son cousin ont été enlevés pendant 3 jours et retrouvés morts après dans un trou d’eau. c’est une histoire qui fait vraiment pitié, les deux étaient encore trop jeunes et avaient de rêve à accomplir. Mais cela a été stoppé par les hommes sans coeur.

La fille a été violé6e, pendu3e et jet7ée dans 1 trou d’eau par leurs kidnapp7eurs avec son cousin. La maman de la fille de l’une des victimes n’a pas pu retenir ses émotions après ce qui est arrivé à sa fille et à son cousin.

Elle nous explique avec de tristesse et des larmes, la façon dont sa fille et son cousin ont été retrouvés. « Elle a été violent3e, tu3e et jet3e dans un puits d’eau avec son cousin. La dame n’a pas trouvé juste ce qui est arrivé à sa fille. Pour elle, la m0rt de sa fille est plus forte et précoce.

A lire aussi

Elle pensait que sa pauvre fille ne pouvait pas m0urir si tôt. Car elle avait de projets à accomplir. Les plans qu’elle a fait avec sa fille ont été arrêtés, sa fille n’était pas seulement.

Le kidnapping en afrique

Depuis décembre, plus de 600 élèves ont été enlevés dans des écoles du nord-ouest du Nigeria, soulignant une évolution inquiétante de la crise des enlèvements contre rançon dans le pays.

L’enlèvement de vendredi de près de 300 élèves de l’école secondaire gouvernementale des filles scientifiques à Jangebe, dans l’État de Zamfara, qui s’est terminé par leur libération, était le deuxième enlèvement de masse dans les écoles en moins de 10 jours. Vingt-sept garçons et leurs enseignants qui avaient été emmenés d’une école à Kagara, dans l’État du Niger, le 17 février, ont été libérés samedi.

Les autorités affirment que les récentes attaques contre des écoles dans le nord-ouest ont été menées par des « bandits », un terme vague désignant les ravisseurs, les voleurs à main armée, les voleurs de bétail, les bergers peuls et d’autres milices armées opérant dans la région qui sont largement motivées par l’argent.

Beaucoup ici pensent qu’une infrastructure de sécurité faible et des gouverneurs qui ont peu de contrôle sur la sécurité dans leurs États – la police et l’armée sont contrôlées par le gouvernement fédéral – et ont eu recours au paiement de rançons, ont fait des enlèvements massifs une source de revenus lucrative.

C’est une accusation que les gouverneurs nient. Le gouverneur de Zamfara, Bello Matawalle, qui dans le passé a promis aux bandits « repentis » des maisons, de l’argent et des voitures, a déclaré que les gens « pas à l’aise [avec] son initiative de paix » sabotaient ses efforts pour mettre fin à la crise.

Jusqu’à présent, les victimes d’enlèvements étaient généralement des voyageurs routiers dans le nord-ouest du Nigeria, qui paient entre 20 et 200 000 dollars pour leur liberté, mais depuis l’enlèvement très médiatisé en 2014 de 276 écolières du lycée de Chibok par des militants islamistes de Boko Haram dans l’État de Borno , davantage de groupes armés ont eu recours à des enlèvements massifs d’étudiants.