Elle n’a que 47 ans mais elle a mis fin …

Une dame de 47 ans a mis fin à sa vie selon nos sources, elle qui résidait à Legos a décidé d’arrêter tout, elle était comptable dans une banque et dont son nom est Madame Afolake Abiola, cette fin atroce est due à l’effet de boire un pesticide

Un pesticide est, en général, un pesticide est un produit chimique (tel que le carbamate) ou un agent biologique (tel qu’un virus, une bactérie ou un champignon) qui dissuade, neutralise, ou décourage les ravageurs. Les ravageurs ciblés peuvent comprendre les insectes, les agents pathogènes des plantes, les mauvaises herbes, les mollusques, les oiseaux, les mammifères, les poissons, les nématodes (vers ronds) et les microbes qui détruisent les biens, causent des nuisances ou propagent des maladies, ou sont des vecteurs de maladies. Outre ces avantages, les pesticides présentent également des inconvénients, tels qu’une toxicité potentielle pour les humains et d’autres espèces.

L’agent des relations publiques de la police d’État, Benjamin Hundeyin, a déclaré que la police s’était rendue au domicile d’Abiola et l’avait trouvé déjà sans respiration.

Hundeyin a déclaré : « Au moment où la police de cette zone a été alertée, ils sont arrivés sur les lieux et ont trouvé la femme sans vie sur le sol. Une bouteille d’insecticide a aussi été trouvée là où elle était couchée, apparemment, elle avait eu le temps d’avaler cet insecticide.

Pourquoi a-t-elle pris la décision de mettre fin à sa vie?

Elle qui avait tout le potentiel, elle était financièrement assise, et aussi belle ,mais elle a décidé de mettre fin à sa vie!

Un proverbe africain dit que « L’extérieur n’est pas l’intérieur… Sa famille est inconsolable, elle devrait au moins penser au chagrin qu’elle va communiquer à sa famille.

C’est l’une des histoires surprenantes que les réseaux sociaux aient recensé, depuis quelques jours. Cette histoire, qui s’est passée, à Lagos, au Nigéria, donc la décision de la femme était déjà prise plutôt que d’accepter le célibat, à en croire les sources. Selon ces dernières, la belle comptable était, tellement, rongée par son statut matrimonial qu’elle ne pouvait plus sortir de chez elle, ni aller vers ses proches. Les collègues d’Afolake n’en reviennent pas d’avoir perdu un être cher, apprend-on des mêmes sources.

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Environ 11 personnes sur 100 000 par an me23*urent par s8cide dans la région africaine, ce qui est supérieur à la moyenne mondiale de neuf pour 100 000 personnes. Cela est dû en partie à une action insuffisante pour traiter et prévenir les facteurs de risque, y compris les problèmes de santé mentale qui affectent actuellement, 116 millions de personnes, contre 53 millions en 1990.

La campagne sur les réseaux sociaux, lancée avant la Journée mondiale de la santé mentale, vise à atteindre 10 millions de personnes dans la région pour sensibiliser le public et galvaniser le soutien des gouvernements et des décideurs afin d’accroître l’attention et le financement des programmes de santé mentale, y compris les efforts de prévention du s8cide.

Ces efforts consistent notamment à équiper les agents de santé pour mieux soutenir ceux qui ont des pensées s8cid*aires, à éduquer les personnes qui peuvent avoir ces pensées sur où aller pour obtenir de l’aide ainsi qu’à sensibiliser le public sur la façon d’identifier et d’aider ceux qui en ont besoin et d’aider à lutter contre la stigmatisation associée avec le s8cide, l’épilepsie, les problèmes de santé mentale et l’abus d’alcool et de drogues.

La région africaine abrite six des 10 pays ayant les taux de s8cide les plus élevés au monde. Les moyens courants dans la région sont la pendaison et l’auto-intoxication aux pesticides et, dans une moindre mesure, la noyade, l’utilisation d’une arme à feu, le saut de hauteur ou la surdose de médicaments. Des études montrent qu’en Afrique, pour chaque réussi, il y a environ 20 tentatives.

« Le s8cide est un problème majeur de santé publique et chaque décès par s8cide est une tragédie. Malheureusement, la prévention du s8cide est rarement une priorité dans les programmes de santé nationaux », a déclaré le Dr Matshidiso Moeti, directeur régional de l’OMS pour l’Afrique. « Des investissements importants doivent être faits pour s’attaquer au fardeau croissant des maladies chroniques et des affections non infectieuses telles que les troubles mentaux qui peuvent contribuer au s9cide en Afrique.

Dr Matshidiso Moeti,
Dr Matshidiso Moeti,

Les problèmes de santé mentale représentent jusqu’à 11 % des facteurs de risque associés au s9cide. La Journée mondiale de la santé mentale de cette année est marquée sous le thème « Faire de la santé mentale et du bien-être pour tous une priorité mondiale » pour attirer l’attention sur l’importance des soins de santé mentale et la nécessité d’un meilleur accès aux services de santé.

En Afrique, le sous-investissement des gouvernements est le plus grand défi à la fourniture de services de santé mentale adéquats. En moyenne, les gouvernements allouent moins de 50 cents américains par habitant à la santé mentale. Bien qu’il s’agisse d’une amélioration par rapport aux 10 cents américains en 2017, il reste bien en deçà des 2 dollars américains par habitant recommandés pour les pays à faible revenu. De plus, les soins de santé mentale ne sont généralement pas inclus dans les régimes nationaux d’assurance maladie.

En raison du faible investissement dans les services de santé mentale, la région africaine compte un psychiatre pour 500 000 habitants, soit 100 fois moins que la recommandation de l’OMS. De plus, les agents de santé mentale se trouvent principalement dans les zones urbaines, les établissements de santé primaires et communautaires n’en ayant que très peu, voire aucun.

 

 

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