Une fille de 5 ans vient de perdre sa vie

Une petite Ivoirienne de 5 ans, prénommée Yamila, est décédée en mer lors d’une tentative d’immigration vers l’Europe. Elle se trouvait à bord d’un bateau de fortune avec sa famille, qui avait fui la pauvreté et les conflits dans leur pays d’origine (en Afrique).

Selon les témoignages des survivants, le bateau surchargé avait quitté les côtes d’Afrique du Nord avec l’espoir d’atteindre l’Europe. Cependant, il a rapidement commencé à prendre l’eau en raison des conditions météorologiques difficiles et de la surcharge de passagers.

La fillette, qui portait un gilet de sauvetage, a été emportée par une vague alors que sa famille luttait pour maintenir leur bateau à flot. Malgré les efforts des autres passagers pour la retrouver, la fillette est morte noyée.

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Ce tragique incident souligne les risques que prennent des milliers de migrants chaque année lorsqu’ils tentent de traverser la mer pour atteindre l’Europe. La plupart des migrants fuient des conditions de vie précaires dans leur pays d’origine et espèrent trouver une vie meilleure en Europe. Cependant, la traversée est souvent dangereuse et peut entraîner des pertes humaines tragiques.

Ce décès a également suscité des réactions de la part de diverses organisations humanitaires et de défense des droits de l’homme, qui ont appelé à une action internationale pour protéger les droits et la sécurité des migrants. Les organisations ont également souligné la nécessité de créer des voies légales pour les migrants qui cherchent refuge et sécurité en Europe.

En conclusion, la mort de cette petite fille de 5 ans est un rappel poignant des dangers que les migrants doivent affronter lorsqu’ils tentent de traverser la mer pour atteindre l’Europe. Ce décès souligne aussi la nécessité de trouver des solutions à long terme pour protéger les droits et la sécurité des migrants et pour répondre aux causes profondes de la migration forcée.

Une autre information dont nous avions reçu est le 29 juin, les Canaries étaient secouées par une nouvelle tragédie migratoire. Une petite Ivoirienne de 5 ans, prénommée Yamila, succombait à un arrêt cardiaque au moment même où les équipes de sauvetage en mer la transportaient en hélicoptère vers un hôpital de Las Palmas, sur l’île de Grande Canarie. Après dix-sept longues journées, l’embarcation dans laquelle elle voyageait en compagnie d’une cousine de sa mère, perdue au milieu de l’océan Atlantique avec 35 personnes à bord, dont seize femmes et six enfants, venait d’être localisée par un paquebot australien de près de 300 mètres de long.

Ses parents, résidant en France sans papiers, n’avaient cessé, les jours précédents, de contacter les associations de migrants, en pleurs, pour obtenir des informations sur l’embarcation où se trouvait leur fille, sans que les services de sauvetage espagnol ne parviennent à la repérer. Le drame n’a finalement pas pu être évité. Mais l’identification de la fillette n’a pas pu être validée par le juge, faute de preuves de filiation, quand bien même son père et sa mère l’ont reconnue sur des photos qui leur ont été transmises. La date de l’enterrement n’a donc pas pu encore être fixée.

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