Une tragédie sans précédent a secoué la ville de Yaoundé, la capitale du Cameroun, mettant en lumière un acte impardonnable de cruauté. Une jeune femme de 23 ans, déjà confrontée à l’hostilité persistante de sa belle-mère, a été victime d’un empoisonnement, tout comme son nouveau-né âgé d’à peine un mois.
La relation tendue entre la jeune femme et sa belle-mère était un secret de polichinelle. Cette dernière n’avait jamais apprécié la présence de sa belle-fille et avait souvent exprimé son mécontentement. La situation s’est aggravée lors de la grossesse de la jeune femme. Son compagnon, souhaitant qu’elle accouche au village et auprès de sa belle-mère, a pris cette décision pour des raisons qui restent floues. C’est là que la tragédie a commencé à se dérouler.
Un mois seulement après avoir donné naissance à un petit garçon, la jeune mère et son bébé ont été victimes d’un acte impensable. Hier soir, la belle-mère, animée par une haine profonde envers sa belle-fille, a sciemment ajouté du poison au repas de la jeune femme, qui a consommé le plat sans se douter de la tragédie qui se profilait. Le nouveau-né a également été exposé au poison, car il était nourri par sa mère.
Les conséquences de cet acte atroce ont été tragiques. La jeune femme et son bébé ont rapidement présenté des symptômes graves d’intoxication, ce qui a poussé la famille à les emmener d’urgence à l’hôpital de Mbouda. Malheureusement, malgré les efforts déployés par le personnel médical, ni la mère ni l’enfant n’ont survécu à cet empoisonnement insidieux.
Ce qui est particulièrement choquant dans cette affaire, c’est que la belle-mère a rapidement confessé son crime aux autorités. Elle s’est livrée d’elle-même aux gendarmes et a avoué son rôle dans cette tragédie inexcusable. Cette admission choquante a ajouté une dimension sinistre à cette histoire, laissant perplexes les témoins et les autorités.
L’ensemble de la communauté est profondément bouleversé par cet acte de cruauté sans précédent, et de nombreux habitants de Yaoundé et d’ailleurs expriment leur choc et leur indignation face à une telle violence. Cette tragédie rappelle l’importance de résoudre les conflits familiaux de manière pacifique et de promouvoir la solidarité au sein des familles, plutôt que de laisser la haine et la colère conduire à des actes aussi horribles. Kamaloum wanda, une expression qui signifie « Que Dieu ait pitié de nous » en dialecte camerounais, reflète le choc et la tristesse que cette
