Une institutrice et son fils retrouvés ég00rgés à leur domicile

Cr#me crapuleux à Gbatogouin : Une institutrice et son fils retrouvés ég00rgés à leur domicile

Gbatogouin, le lundi 20 novembre – Une communauté sous le choc

Les rues paisibles de Gbatogouin, dans la sous-préfecture de Man, ont été le témoin d’une tragédie insoutenable ce lundi matin. Une institutrice dévouée, Dame Keke Loyoh Cristelle Flavie, responsable de la classe de CP1 à l’EPP Gbatogouin 2 depuis près de trois ans, a été retrouvée ég##rgée dans sa propre maison, son fils âgé de 7 ans gisant sans vie à ses côtés.

Cette découverte atroce a plongé la communauté dans une profonde tristesse et indignation, laissant derrière elle un voile de questions sans réponses.

Les faits, aussi inimaginables que cruels, ont débuté lors de la levée des drapeaux à l’école. Dame Keke n’a pas répondu à l’appel, suscitant l’inquiétude de ses collègues.

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Le directeur, Affoumani Aka, conscient de l’habitude assidue de l’institutrice, a envoyé des collègues pour vérifier son absence.

La découverte a été macabre : la porte de la maison close, et à l’intérieur, un tableau d’h0rreur avec Dame Keke et son fils retrouvés ég#rgés.

Le directeur a immédiatement alerté les autorités compétentes.

Une délégation dirigée par la directrice de l’éducation nationale, Mme Beugre, s’est rendue sur place pour effectuer les constats d’usage. Les c0rps ont été transportés à la morgue du CHR de Man en attendant les résultats des enquêtes.

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Les gendarmes ont révélé une dimension encore plus tragique en annonçant que Dame Keke était enceinte. Cette information a ajouté un niveau de cruauté inimaginable à cet acte odieux. Elle avait été vue pour la dernière fois le samedi matin, vaquant à ses occupations habituelles. Ses collègues, encore sous le choc, témoignent unanimement qu’elle n’avait jamais été impliquée dans des conflits au cours de ses trois années de service dévoué.

Dame Keke, en plus de son rôle d’enseignante, était la trésorière générale de la mutuelle des enseignants du groupe scolaire Gbatogouin. Sa perte laisse un vide immense au sein de la communauté éducative et soulève des interrogations sur la sécurité au sein du village.

En attendant que la lumière soit faite sur les circonstances de ce crime odieux, la communauté de Gbatogouin se rassemble dans la tristesse et l’indignation, demandant justice pour Dame Keke et son fils, victimes innocentes d’une violence inexplicable.

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